May 29, 2023
[english]
At Le Village Pop, where we tend to lovingly cultivate unbridled singularity, we're also delighted when we occasionally come across an album that contains everything that moves us, but also benefits from a little consensual flame ... Such is our feeling when listening to Jeremy Tuplin's new album "Orville's Discotheque" (Trapped Animal Records).
This English musician, originally from Somerset, offers us an album halfway between pop, rock and electronic music, supported by a songwriting as tight as it is flexible, and by a sovereign voice, a stunning combination of restraint and expressivity ... There's something of Alex Cameron about Jeremy Tuplin, only finer and deeper ... This subterranean music, called by the light with all its being, responds to many appetites and awaits only your participation to reveal itself as the ideal soundtrack to our nocturnal wanderings ... And this time, the addiction is sweet ... Enjoy!
(Automatic translation from a text written in french)
[français]
Au Village Pop, où l'on cultiverait plutôt avec amour la singularité sans freins, on est également ravis lorsque l'on tombe de temps en temps sur un album pouvant contenir à la fois tout ce qui nous meut mais bénéficiant en plus d'une petite flamme consensuelle ... Tel est notre sentiment à l'écoute de ce nouvel album de Jeremy Tuplin "Orville's Discotheque" (Trapped Animal Records).
Ce musicien anglais originaire du Somerset nous offre là un album à mi-chemin entre pop, rock et musique électronique, le tout porté par un songwriting aussi resserré que souple, et par un chant souverain, alliance épatante de retenue et d'expressivité ... Il y a du Alex Cameron chez Jeremy Tuplin, mais en plus fin et plus profond ... Cette musique souterraine appelée de tout son être par la lumière répond à de nombreuses appétences et n'attend plus que votre participation pour se révéler en bande son idéale de nos errances nocturnes ... Et cette fois, douce est l'addiction ... Enjoy !
